La librairie est morte, vive la... ?

La quoi ?
Le monde de la librairie vit une mutation sans précédent, le commerce électronique et la dématérialisation du livre .
Comment les libraires doivent-ils s'adapter à cette nouvelle donne ?
Si la librairie d'aujourd'hui est morte, alors quelle sera-t-elle demain ?

samedi 7 avril 2012

Si vous doutez encore du e-commerce et du cross canal...


"Il faut mettre en place tous les outils pour conforter la relation entre le commerçant et son client"

Ce que dit Jean-Marc Megnin concernant les opticiens vaut pour tous les commerçants, et donc bien sûr les libraires.



Comme je l'écrivais dans mon essai, la véritable révolution est celle d'internet. Curieusement, le client est aujourd'hui mieux équipé que le commerçant : smartphone, tablettes...
Ceci est une... aberration ou une révolution, c'est selon.
Bref, il a un accès à internet, avec une mobilité que le vendeur n'a pas (encore).
La mutation prend l'apparence d'une réelle révolution donc.
Dans un précédent billet, je reprenais également l'étude de la Fevad, intitulé, "2020, la fin du e-commerce".
Nous sommes effectivement au début de l'omni canal : l'e-commerce est mort, le commerce traditionnel est mort et les commerces pure-players sont morts.
C'est donc l'arrivée, de cet omni canal, la fusion de ces trois commerces en un, et ce, sans frontières, sans canaux distinctifs, mais bien de cette continuité des achats (et donc des ventes) du client ATAWAD : AnyTime, AnyWhere, AnyDevice...

Je suis parfaitement d'accord avec Mr Megnin, le client aime venir en magasin à partir du moment où il est bien accueilli pour : toucher, voir, être conseillé, et profiter de services...

Et le libraire est tout à fait en mesure de répondre à ces quatre besoins (fondamentaux ?) du client du XXIè siècle !

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